ITALIE : FLORENCE - Palais Pitti, Belvédère, jardins Boboli vers Porta Romana
Le PONT DE SANTA TRINITA me conduisit dans le quartier du BORGO où la PIAZZA PITTI, envahie par les visiteurs offre dans les jardins du PALAIS PITTI la possibilité de s’allonger sur les pelouses.
La magnificence, la démesure du PALAIS PITTI, l’a fit surnommer « le Versailles florentin ».
Il fut bâti sur les plans de Brunelleschi pour une famille rivale des Médicis, les PITTI.
Pour la petite histoire, sa construction a commencé au milieu du XVe siècle, pour le compte du marchand-banquier Luca Pitti.
Un siècle plus tard, ce palais fut acheté au banquier ruiné par la femme de Côme Ier, Éléonore de Tolède.
Elle souhaitait s’éloigner du sévère PALAZZO VECCHIO.
Pendant trois siècles, il fut la résidence des grands-ducs de Toscane. Avec sa façade de 200 mètres de long, il est le plus grand palais édifié à la renaissance.
Ce jour-là, l’accès aux JARDINS BOBOLI était gratuit.
La cour intérieure dépassée, je pris un couloir qui s’ouvrait sur les jardins.
Pour avoir déjà visité ce monument à plusieurs reprises, je savais que la vue sur l’arrière du PALAIS PITTI était splendide surtout si le temps le permettait !
Plus je m’éloignai du PALAIS PITTI, plus ce dernier me parut imposant !
En tournant le dos au PALAIS PITTI, je me retrouvai face au BELVÉDÈRE.
Derrière le BELVÉDÈRE, le Musée des porcelaines attira mon attention.
Jardin- au fond Musée des porcelaines
En vérité, à l'intérieur, je lui accordai une médiocre attention plus captivée par la beauté de la campagne environnante qui déployait devant mes yeux émerveillés son manteau de verdure.
Puis, dans les JARDINS DE BOBOLI, je m’attardai devant les statues, les fontaines et les plantes.
Allée des Jardins de Boboli
Une des sorties des JARDINS BOBOLI, m’ouvrit sur la PORTA ROMANA, dans un autre quartier populaire de FLORENCE.
Puis, je franchis cette porte pour revenir PIAZZA DELLA CALZA et y contempler quelques bâtiments au passage.
Depuis cette Piazza, je pris la VIA ROMANA qui, d’après mon plan, serpentait longuement jusqu’au PONTE VECCHIO.
Dans ce quartier, les passants y étaient aussi rares que les boutiques.
Quel contraste avec le PONTE VECCHIO où, à quelques mètres, les visiteurs s’entassaient pour photographier l’ARNO où les devantures des bijoutiers !
C’est sur ces réflexions que je repris le chemin de la PIAZZA SAN ANNUNZIATA où m’attendait mon hôtel et la valise que je devais boucler pour regagner la FRANCE.
A découvrir aussi
- ITALIE : FLORENCE - Quartier SANTA MARIA NOVELLA
- ITALIE : FLORENCE - Quartier de SAN MARCO
- ITALIE : FLORENCE - Basilique SANTA CROCE à l'Eglise SAN REMIGIO