LE VOYAGE PAR L'IMAGE

  

 

 

En utilisant ce bus touristique, j’avais bien conscience que certains villages plus typiques seraient évités. Pour les découvrir, j’aurais dû louer une voiture et sillonner ainsi l’île en toute liberté.

J’y avais songé, mais la conduite à droite, ce n’est pas mon truc !

 

 

Le bus se gara sous les arbres, à proximité de l’entrée principale du village médiéval de MDINA.

 

 

 

 

 

 

Entrée principale du village médiéval de Mdina.

 

 

 

 

 

 

 

Déjà de nombreux touristes investissaient les monuments à visiter.

 

Je passai d’un bâtiment à l’autre autant émerveillée à l’intérieur par la beauté des lieux que par le soleil éblouissant qui m’attendait à l’extérieur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Véritable musée à ciel ouvert, cette ville de MDINA est certainement l’une des plus intéressantes à visiter.

 

Je la mettrai au même niveau que La Valette et les Trois Cités pour l’intérêt culturel, la beauté des pierres et le point de vue qu’offre cette ville perchée sur son promontoire situé à 200 m d’altitude.

 

 

Pour en apprécier le charme, je pense qu’il faut attendre le départ des touristes, en fin d’après-midi et y réaliser les photos sublimées par une luminosité exceptionnelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au loin se dessinait une ville, peut-être celle de Rabat plus rurale qui était à l’origine la sœur jumelle de MDINA et qui se voyait depuis le promontoire.

 

Si j’avais opté pour la visite de la ville en calèche, je me serais certainement évité les hordes de touristes déambulant d’un monument à l’autre gâchant et le plaisir de voir et celui de photographier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour les éviter, je préférai marcher au hasard pour partir à la rencontre du village et y observer des scènes insolites comme ce monsieur ramassant les crottes des chevaux à chacun de leur passage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En passant devant certains murs, je formulai le souhait de voir s’ouvrir une porte afin d’y entrevoir l’intérieur de ces demeures.

 

Je me résignai à en contempler seulement l’extérieur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de rejoindre l’arrêt de bus, je jetai un dernier regard dans une ruelle étroite et un autre vers le ciel pour y reconnaître des balcons aux formes originales regrettant de n’avoir pu visiter qu’une partie de la Cathédrale.

 

 

Elle allait fermer !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je franchis une des portes de sortie du village médiéval et me dirigeai vers l’arrêt de bus où déjà de nombreux touristes attendaient l’arrivée du bus bleu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je m’assis et m’emparai des écouteurs pour écouter les informations dispensées en français.

Nous traversâmes une campagne qui me parut plus rurale et authentique que celle vue dans le sud de l’île.

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le bus poursuivit sa route en direction des autres arrêts où des boutiques qui ressemblaient à des baraquements exposaient et vendaient des produits artisanaux.

 

Il emprunta des chemins en très mauvais état pour gagner la côte où des stations balnéaires branchées, réputées et connues dans le monde entier, étalaient leurs constructions modernes, leurs plages attirant les plongeurs ou les amoureux de l’eau aussi bleue que le ciel, leurs magasins, leurs parasols ainsi que leurs terrasses bondées de monde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’évitai de photographier ces lieux qui se dupliquaient à l’identique notamment dans certains départements du sud de la France ou dans certaines provinces en Espagne.

 

 

L’heure du dernier ferry pour La Valette étant dépassée, je m’engouffrai dans le bus n° 13 de la ville de La Valette qui me déposa à la station des bus, près de mon hôtel.