LE VOYAGE PAR L'IMAGE

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MALTE : Arrivée dans l'île de Malte

 

 

 

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De toutes les îles que j’ai eu la chance de visiter, l’archipel maltais est certainement le plus facile à parcourir.

 

Pour la petite histoire, il se compose de la Découverte de l'ILE DE MALTE 246 km2 comprenant l’île de Gozo 67 km2. Entre elles deux, se dressent les îlots de Comino 3km2 et Cominotto ainsi qu’au Sud le minuscule îlot de Filfia.

 

L’île de Malte, pour ceux qui l’ignorent, mesure 27 km de long et 14 km de large.

Elle se situe en méditerranée à 90 km de la Sicile et à environ 300 km des côtes de la Tunisie.

 

Sa population approche ou dépasse les 400 000 habitants, faisant de cette île, le pays d’Europe qui compte la densité d’habitants la plus élevée au kilomètre carré.

 

C’est d’ailleurs sa position stratégique qui a suscité de nombreuses convoitises.

 

Elle fut, au cours des siècles, fréquemment envahie  par les : phéniciens, romains, arabes, normands, italiens, espagnols, français, anglais et j’en oublie !

 

Les brochures touristiques, les sites, les blogs, les livres relatent avec plus de précisions que je ne saurais le faire, l’histoire unique de cette petite île qui est surtout connue au travers de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem et de Malte.

 

 

Pour arriver à Malte en venant de France, j’atterris à l’aéroport international de Luqa (6 km de La Valette).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je dois avouer que vue du ciel, lîle de Malte me surprit.

 

 

De l’avion, l’île me sembla très aride.

Je découvris plus tard que la couleur des habitations change selon la météo.

À mon arrivée, Malte sembla épouser la couleur des nuages.

À mon départ, elle scintilla sous les rayons dorés du soleil.

 

 

Le contraste fut d’autant plus saisissant qu’aucun n’ouvrage ne m’avait présenté les deux visages de cette île !

Pour moi, l’île de Malte était recouverte d’une couleur ocre. Mais peut-être n’ai-je pas acheté les bons livres ?

 

L’aéroport de Luqa est l’unique aéroport de l’île. De taille humaine et moderne, il se caractérise par la précision de ses panneaux de signalisation.

Se repérer ne pose donc aucun problème à ceux qui possèdent un minimum de vocabulaire en anglais.

D’autant que les Maltais s’emploient à renseigner le touriste perdu, mais poli.

 

C’est d’ailleurs à l’intérieur de l’aéroport que j’achetai un pass coûtant 12 euros pour utiliser le réseau des bus pendant 7 jours.

L’employé me délivra gratuitement  le plan des lignes desservant la totalité de l’île de Malte. Grâce à ce plan, je pus identifier un bus portant le numéro X4 , direction La Valette et situé à une dizaine de mètres de la porte d’arrivée de l’aéroport.

J’ai pris soin bien sûr de vérifier auprès du chauffeur que le bus s’arrêtait bien  au terminus des bus, près de la Fontaine aux tritons à La Valette et ce tout en lui présentant le pass que je venais d’acheter.

 

Je dois avouer que le guide du routard m’avait beaucoup aidé à préparer mon voyage avant de partir, comme chaque fois d’ailleurs.

Il fut  également un compagnon précieux durant mon séjour à Malte.

 

 

 

 

 

 

  Fontaine aux titrons

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Dans ces bus neufs (les bus de type anglais ont disparu), un emplacement pour les bagages est prévu. Je pus ainsi m’asseoir et observer tant le paysage que les occupants du véhicule.

Il m’a toujours semblé plus intéressant de côtoyer la population locale que de prendre un taxi. Au passage, je notai un brassage de races identique à celui que nous retrouvons en France, en Italie, en Angleterre et dans bien d’autres pays dans le monde.

 

Comme prévu, le  bus s’arrêta à la station. De là, je consultai mon plan dans le guide du routard.

Mon hôtel se situait à quelques centaines de mètres seulement de l’arrêt des bus.

Les travaux importants en cours dans ce quartier me contraignirent à demander mon chemin, toujours en anglais, à un Maltais devant la porte de sa boutique.

 

 

 

 

 

 

 

 Les travaux

 

 

 

 

 

 

 

Très gentiment, il me conduisit devant la rue où se dressait mon hôtel. Les numéros inscrits sur les immeubles me facilitèrent la tâche.

 

Cette rue faisait presque figure d’exception, car dans beaucoup d’autres, les immeubles ne portaient pas de numéros sur les façades.

 

 

Comme prévu, le personnel à la réception ne parlait qu’anglais. Mon accent déplorable, mon vocabulaire hésitant, mon dictionnaire s’employèrent à briser sans aucun problème la barrière de la langue.

 

  

Le dictionnaire du routard, dont les mots sont classés par ordre alphabétique tant en français qu’en anglais m’aida à prononcer les termes correctement et à retrouver ceux que j’avais oubliés.

Se glissant dans une poche, son petit format représente un réel avantage ainsi que ses caractères d’imprimerie  parfaitement lisibles.

 

 

Bien sûr, les traducteurs incorporés dans de nombreux outils de communication actuels m’auraient offert des fonctions plus sophistiquées que ce support papier.

 

 

Mais auraient-ils engendré ces rires déclenchés par cette utilisation empirique et donc ces belles rencontres où joie, curiosité, intérêt, tendresse se mélangeaient ?


Je ne le pense pas ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



14/10/2015
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