CONSEILS AUX INTERNAUTES sur les articles relatifs au MAROC
Ces articles ont été rédigés à partir de notes prises pendant mes nombreux séjours au MAROC.
Comme je le précise dans mes anecdotes, j’ai eu un coup de foudre pour ce pays. Je l’ai donc sillonné à maintes reprises.
Il serait prétentieux d’affirmer que je le connais bien.
J’ai écouté sa musique,
lu certains livres écrits par des écrivains marocains, français, étrangers,
goûté à sa cuisine,
admiré ses paysages,
parlé avec ses habitants,
mais seulement de 2002 à 2010.
Ce pays a évolué, continue et continuera à évoluer.
Si je devais faire un résumé, je dirais que CASABLANCA représente le Maroc de demain très occidentalisé avec une once de traditions.
RABAT me semblerait plus traditionnelle, plus provinciale, mais surtout malgré ses monuments, une ville à taille humaine.
MEKNES un peu l’oubliée et celle qui a conservé des vestiges du temps passé et des traditions réconfortantes pour le touriste à la recherche d’une certaine authenticité.
Puis il y a VOLUBILIS et ses vestiges, véritable paradis pour les amoureux de sites archéologiques.
Que dire de TANGER, ville totalement délaissée jusqu’à présent que le roi Mohamed VI souhaiterait voir renaître de ses cendres !
Ignorée par les agences de tourisme, elle suscite l’amour ou le désamour avec la même violence pour tous.
Je sais seulement que cette ville est en devenir, mais qu’il reste encore et pour longtemps beaucoup de travail à accomplir.
FES m’éblouit à cause de son authenticité en me faisant voyager de l’an mille à l’an deux mille lors de mes errances dans ses médinas.
MARRAKECH fut mon coup de foudre et le demeure, mais je crois qu’elle est en train de perdre son âme comme une belle femme flattée par le luxe et la luxure.
OUARZAZATE m’étonna par la couleur et la structure de ses habitations, mais me laissa indifférente.
La Vallée du Draa et la Vallée des Roses m’enchantèrent et me donnèrent le désir d’y revenir un jour.
Ce ne fut pas le cas d’AGADIR dont l’occidentalisme me navra malgré sa médina et la beauté de sa plage.
ESSAOUIRA, qui est la ville des peintres et des photographes me fascina pour ses couleurs, son port, ses ruelles et son je ne sais quoi qui en fait une ville aussi attirante qu’une belle fille.
Puis, il y a toutes ces villes moins connues comme TAROUDANT, TIZNIT, TETOUAN, et tant d’autres qui ressemblent à l’idée que l’on se fait des villes marocaines traditionnelles.
Il y aussi les paysages sublimes qui complètent cette toile des villes inconnues ou connues.