LE VOYAGE PAR L'IMAGE

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ITALIE - Ville de Naples - Retour vers la Place Plebiscito et la Galerie Umberto I

Piazza  Serao

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Après avoir quitté la via Toledo, je passai près de la piazza Serao à la recherche du café Cambrinus connu dans le monde entier, tellement célèbre que j'eus d'énormes difficultés à y pénétrer.

J'y admirai cependant son magnifique lustre et dévorai des yeux ses appétissantes pâtisseries à défaut de pouvoir photographier les serveurs joliment habillés..

 

 

 

 

 

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Au loin et sous le soleil, la place Plébiscito dévoilait toute sa beauté. 

Je la contemplai une dernière fois, car je savais que les jours suivants seraient consacrés à la visite de la Côte Almafitaine.

 

 


  

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Je délaissai la place Plébiscito pour visiiter rapidement l’intérieur du théâtre San Carlo qui allait fermer. Ce lieu était un chef-d’œuvre architectural. L’un des plus prestigieux d’Europe qui fut construit en 1737. La beauté de son plafond notamment m’en convainquit.

Je me promis d’y revenir quand le ravalement de la façade serait terminé et quand j’aurai plus de temps à lui consacrer.

Puis, je déambulai dans la Galerie Umberto.

Même si elle n’était pas aussi belle que celle de Milan, elle méritait que je m’arrête une dernière fois pour la contempler.

 

Il ne me fallut que quelques minutes pour retrouver avant qu’il ne fasse trop sombre la direction de mon B and B. Mon estomac commençait à me torturer.

J’empruntai quelques ruelles et rentrai dans une petite boutique pour y déguster une délicieuse préparation napolitaine à base de tomate et de fromage.

La jeune fille qui me servit reconnut à mon accent que j’étais française. Ravie de s’exprimer dans la langue de Molière, elle se fit un plaisir de soigner mon installation. Puis elle me demanda la permission de s’asseoir à ma table. C’est ainsi que j’appris que cette jeune fille avait étudié le français en première langue. Elle me parla notamment de « l’étranger » d’Albert Camus, un livre que j’avais lu à son âge.

Son objectif était de partir travailler à Dubaï ou à Paris, car elle estimait qu’à Naples, elle n’avait aucun avenir.

Comme pour ceux que j’avais entendu s’exprimer en français, cette jeune étudiante m’étonna par la richesse de son vocabulaire. Il était recherché et sa façon de disserter sur « l’étranger » de Camus, surprenante pour une étudiante aussi jeune. Elle me confia qu’elle avait baigné dans la culture française. En effet, ses parents avaient étudié le français en première langue à l’école.

 

C’est sur ce bel échange que je regagnai ma chambre. M’y attendait l’obligation de téléphoner à mon correspondant italien pour confirmer mon rendez-vous du lendemain avec la guide qui me conduirait sur les sites de Pompéi et du Vésuve.

 

 

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 Ce que je fis avant de m'endormir !

 

 

 

 

 

 

 

 



17/11/2019
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